La 30e conférence de l’ONU sur le climat, la COP30, qui se réunit en ce moment à Belém, au Brésil, en témoigne : la catastrophe climatique se poursuit. Elle se poursuit à bas bruit au milieu des guerres, de la détresse et de la misère croissantes, en France et dans le monde.
De la même façon qu’il ne faut pas compter sur les chefs d’État pour mettre fin aux guerres, à l’exploitation ou à la pauvreté, il serait suicidaire de s’en remettre à eux pour lutter contre le réchauffement climatique.