Le général Mandon, fraîchement nommé chef d’état-major des armées et en service commandé de l’Élysée, enchaîne les discours va-t-en guerre.
Il y a un mois, il expliquait que la population devait se préparer à « un choc militaire avec la Russie » d’ici à « trois, quatre ans ». La semaine dernière, devant les maires de France, il a demandé de se tenir prêt « à accepter de perdre ses enfants et de souffrir économiquement ».